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"Lady Di du jazz" par Carole Gaillard & Nicolas Lerègle




Helen Merrill quelques années auparavant avait, elle aussi, joué de sa plastique « Marylin Monroe » pour séduire autant l’auditeur que le spectateur. Diana Krall s’impose dans le même registre avec un petit côté « mon physique ne doit pas vous distraire » qui rend l’écoute de ses albums encore plus agréable.