La pression croissante exercée par l’administration Trump sur l’Iran s’est transformée en une situation d’extrême tension. Les dirigeants des deux pays disent ne pas vouloir de conflit, mais ne doit-on pas craindre un embrasement imminent dans le Golfe Persique ?
Le Président américain, qui vient d’être candidat à sa propre succession veut donner l’image d’un Président fort, mais qui évite la guerre en lui privilégiant les rétorsions économiques. Pour cette raison, il repousse jusqu’à présent l’option militaire.
Il n’est, au demeurant pas démontré que les attaques de tankers soient iraniennes. Il serait, en effet, paradoxal que Téhéran s’en soit pris le 12 juin à un pétrolier norvégien alors que la Norvège est l’État rapporteur du dossier sur l’Iran auprès du Conseil de Sécurité de l’ONU… et à un navire japonais tandis que le Premier Ministre Shinzo Abe était en visite officielle en Iran !
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Le Président américain, qui vient d’être candidat à sa propre succession veut donner l’image d’un Président fort, mais qui évite la guerre en lui privilégiant les rétorsions économiques. Pour cette raison, il repousse jusqu’à présent l’option militaire.
Il n’est, au demeurant pas démontré que les attaques de tankers soient iraniennes. Il serait, en effet, paradoxal que Téhéran s’en soit pris le 12 juin à un pétrolier norvégien alors que la Norvège est l’État rapporteur du dossier sur l’Iran auprès du Conseil de Sécurité de l’ONU… et à un navire japonais tandis que le Premier Ministre Shinzo Abe était en visite officielle en Iran !
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